jeudi 20 juin 2013
mercredi 19 juin 2013
vendredi 17 mai 2013
Louga : des conducteurs de moto-taxi prêts à se doter de permis de conduire
Louga, 17 mai(APS) – Des conducteurs de moto-taxi de la ville de Louga (Nord) ont fait part vendredi à l’APS de leur volonté de se conformer à l’arrêté préfectoral leur exigeant entre autres la détention d’un permis de conduire et la souscription à une police d’assurance.
‘’Je me réjouis de cet arrêté des autorités qui va dans le bon sens, parce que tout conducteur doit détenir un permis de conduire. Mais nous leur demandons de nous faciliter son obtention’’, a déclaré à un correspondant de l’APS, Ousseynou Guèye, un conducteur de moto-taxi.
‘’C’est tout à fait normal que les autorités prennent cette décision. Tout conducteur doit détenir un permis de conduire. Il y va de sa sécurité et de celle des passagers qu’il convoie. Nous avons une association et nous allons nous réunir pour en discuter’’, a pour sa part dit Waly Diabira, trouvé sur la Place Yacine Boubou, près du marché central de Louga.
Le préfet du département de Louga, Oumar Diallo, a souligné jeudi la nécessité pour les conducteurs de moto-taxi de se ‘’mettre aux normes’’ d’ici à la fin du mois de septembre prochain conformément à un arrêté préfectoral leur exigeant entre autres la détention d’un permis de conduire et la souscription d’une police d’assurance.
‘’C’est un arrêté qui vient du ministère des Transports et qui fixe les conditions pour conduire les motos-taxis notamment les permis A1 et l’assurance. C’est une bonne initiative et comme c’est notre gagne pain nous devons nous y conformer’’, a ainsi souligné Abdou Ndiaye, président d’une association de conducteurs de moto-taxi.
‘’Depuis que nous avons embrassé ce métier, nous n’avons pas croisé les bras, nous faisons le maximum pour l’obtention de permis. Mais il est difficile dans le secteur de l’avoir avec la carte grise et l’assurance. Cela demandait des moyens que nous n’avions pas’’, a-t-il indiqué.
Il s’est ainsi réjoui de la décision de la commune de les aider à suivre une formation sur le code de la route qui facilitera l’obtention du permis de conduire nécessaire pour souscrire une police d’assurance.
‘’C’est tout à fait normal que les autorités prennent cette décision. Tout conducteur doit détenir un permis de conduire. Il y va de sa sécurité et de celle des passagers qu’il convoie. Nous avons une association et nous allons nous réunir pour en discuter’’, a pour sa part dit Waly Diabira, trouvé sur la Place Yacine Boubou, près du marché central de Louga.
Le préfet du département de Louga, Oumar Diallo, a souligné jeudi la nécessité pour les conducteurs de moto-taxi de se ‘’mettre aux normes’’ d’ici à la fin du mois de septembre prochain conformément à un arrêté préfectoral leur exigeant entre autres la détention d’un permis de conduire et la souscription d’une police d’assurance.
‘’C’est un arrêté qui vient du ministère des Transports et qui fixe les conditions pour conduire les motos-taxis notamment les permis A1 et l’assurance. C’est une bonne initiative et comme c’est notre gagne pain nous devons nous y conformer’’, a ainsi souligné Abdou Ndiaye, président d’une association de conducteurs de moto-taxi.
‘’Depuis que nous avons embrassé ce métier, nous n’avons pas croisé les bras, nous faisons le maximum pour l’obtention de permis. Mais il est difficile dans le secteur de l’avoir avec la carte grise et l’assurance. Cela demandait des moyens que nous n’avions pas’’, a-t-il indiqué.
Il s’est ainsi réjoui de la décision de la commune de les aider à suivre une formation sur le code de la route qui facilitera l’obtention du permis de conduire nécessaire pour souscrire une police d’assurance.
aps.sn
Ndiambour vs Etics : Tous pour la montée
À trois journées de la fin du championnat national de Ligue 2 sénégalaise, le Ndiambour de Louga recevra l'Etics de Thiès ce dimanche au stade municipal de Louga . cette rencontre phare sera déterminante à cette fin de championnat puisque le Ndiambour est actuellement deuxième de ce championnat avec ( 17 Pts +4), même nombre de points avec le leader Stade de Mbour(17 Pts +5), alors que l'Etics est troisième à une longueur (16 Pts +0).
Calendrier 16éme journée :
Rss Yoff vs Hlm
Cneps vs Stade de Mbour
Yakaar vs Saloum
Ndiambour vs Etics
Classement :
Un centre de recherches et d'essais pour le développement local, via le transfert de technologies à Louga
Le Ministre de l'Enseignement et de la Recherche Scientifique, Mary Teuw Niane, s'est réjoui, hier, de l'ouverture dans la capitale du Ndiambour d'un Centre de Recherches et d'Essais (CRE), estimant que cet outil favorisera le développement local par le transfert de technologie et de renforcement de capacités des acteurs à la base.
Le Ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique s'exprimait au cours de la cérémonie d'inauguration du Centre de recherche et d'essais de Louga ouvert il y a un mois.
«Vous avez dans votre ville un outil de développement économique et social, mais surtout, de lutte contre la pauvrté. Je reste convaincu qu'à travers le CRE, les jeunes et les femmes bénéficieront en permanence d'un renforcement de capacités, d'une formation et d'un accompagnement dans leurs activités socio-économiques», a indiqué le professeur Mary Teuw Niane, selon qui, les CRE constituent des interfaces indispensables entre les populations et la recherche développement, intervenant principalement dans la diffusion, la vulgarisation du savoir et du savoir-faire, la promotion et le développement de la culture scientifique.
Il a, en outre, lié le choix d'implanter dans la ville de Louga au dynamisme de sa population, à sa position géographique qui en font un carrefour commercial et un centre urbain en pleine expansion, avec plus de 85.000 habitants.
Le CRE, installé depuis plus d'un mois au siège de l'Odcav (Organisme de coordination des activités de vacances) a déjà enregistré 764 inscriptions, dont les 243 ont déjà bénéficié d'un encadrement dans divers modules, selon le président de l'Odcav, Ismael Mbengue Fall .
Cet encadrement gratuit porte sur des modules relatifs à l'initiation en informatique, en français et en arabe, en infographie, assemblage d'ordinateurs et construction de prototypes de cuiseurs solaires. Le Ministre de l'Enseignement de Supérieur et de la Recherche Scientifique, Mary Teuw Niane, a annoncé l'ouverture prochaine des Centres de Recherches et d'Essais à Fatick, Touba, Bambey, Saint-Louis, Matam et Kolda.
«Vous avez dans votre ville un outil de développement économique et social, mais surtout, de lutte contre la pauvrté. Je reste convaincu qu'à travers le CRE, les jeunes et les femmes bénéficieront en permanence d'un renforcement de capacités, d'une formation et d'un accompagnement dans leurs activités socio-économiques», a indiqué le professeur Mary Teuw Niane, selon qui, les CRE constituent des interfaces indispensables entre les populations et la recherche développement, intervenant principalement dans la diffusion, la vulgarisation du savoir et du savoir-faire, la promotion et le développement de la culture scientifique.
Il a, en outre, lié le choix d'implanter dans la ville de Louga au dynamisme de sa population, à sa position géographique qui en font un carrefour commercial et un centre urbain en pleine expansion, avec plus de 85.000 habitants.
Le CRE, installé depuis plus d'un mois au siège de l'Odcav (Organisme de coordination des activités de vacances) a déjà enregistré 764 inscriptions, dont les 243 ont déjà bénéficié d'un encadrement dans divers modules, selon le président de l'Odcav, Ismael Mbengue Fall .
Cet encadrement gratuit porte sur des modules relatifs à l'initiation en informatique, en français et en arabe, en infographie, assemblage d'ordinateurs et construction de prototypes de cuiseurs solaires. Le Ministre de l'Enseignement de Supérieur et de la Recherche Scientifique, Mary Teuw Niane, a annoncé l'ouverture prochaine des Centres de Recherches et d'Essais à Fatick, Touba, Bambey, Saint-Louis, Matam et Kolda.
rewmi.com
Louga :Miss Mathématiques : La trouvaille des autorités pour faire « embrasser et exceller les filles dans les matières scientifiques »
Rien n’est de trop pour pousser les potaches vers la science. Après les Olympiades de Maths, on a concocté une autre parade, à Louga : « Miss mathématiques ». Un concours pour «encourager les filles à embrasser et à exceller dans les matières scientifiques », a renseigné l’organisateur régional, Mouhamed Sow, sur les colonnes du journal, « L’Observateur ».
Mettant aux prises tous les collèges et Lycées de la région, Fatoumata Lô, élève en 4ème au CEM Modou Awa Balla Mbacké, Aminata Mbodj, en seconde S au lycée Malick Sall et Aïssatou Gueye, en 1ère S au Lycée Abdoulaye Fall, ont remporté la palme et ont été couronnées, à cet effet, avant-hier à l’Inspection d’Académie. Ces lauréates représenteront la région de Louga, au concours national.
Mettant aux prises tous les collèges et Lycées de la région, Fatoumata Lô, élève en 4ème au CEM Modou Awa Balla Mbacké, Aminata Mbodj, en seconde S au lycée Malick Sall et Aïssatou Gueye, en 1ère S au Lycée Abdoulaye Fall, ont remporté la palme et ont été couronnées, à cet effet, avant-hier à l’Inspection d’Académie. Ces lauréates représenteront la région de Louga, au concours national.
pressafrik.com
mercredi 15 mai 2013
L’AFD débloque un financement de 9 milliards de F Cfa pour Louga
La France va financer le Sénégal à hauteur de 9 milliards de FCFA. La convention de subvention signée par les deux pays, hier, à Dakar, entre dans le cadre d’un programme d’amélioration de la santé maternelle et infantile dans la région de Louga .
Le ministre de l’économie et des finances, Amadou Kane et l’ambassadeur de France au Sénégal, Nicolas Normand, ont procédé, hier, à Dakar, à la signature d’une convention de subvention d’un montant de 9 milliards de francs CFA. Cet accord signé par les deux pays entre dans le cadre d’un programme d’amélioration de la santé maternelle et infantile, comme a eu à le préciser Amadou Kane, selon le projet interviendra particulièrement dans la région de Louga, pour appuyer les programmes de santé de la production, de la qualité, de la prise en charge de la grossesse, des accouchements compliqués, ainsi que des nouveau-nés. Mieux, pour le ministre de l’économie et des finances, ce financement devrait également contribuer à promouvoir la Planification familiale, par la réalisation de nouveaux centres de santé de référence. En ce sens, Amadou Kane soutiendra que le gouvernement du Sénégal ne ménagera aucun effort pour accompagner ce projet, en mobilisant les moyens financiers et humains nécessaires à sa réussite. C’est pourquoi, informe-t-il, le ministère de la Santé a confirmé l'affectation d'un personnel supplémentaire de qualité à Louga. L’ambassadeur de France au Sénégal, Nicolas Normand, précisera que l'Etat du Sénégal va contribuer à hauteur de 650 millions, pour la construction des locaux de la Direction de la santé de la reproduction et de la suivie de l'enfant (Dsrse).
Le ministre de l’économie et des finances, Amadou Kane et l’ambassadeur de France au Sénégal, Nicolas Normand, ont procédé, hier, à Dakar, à la signature d’une convention de subvention d’un montant de 9 milliards de francs CFA. Cet accord signé par les deux pays entre dans le cadre d’un programme d’amélioration de la santé maternelle et infantile, comme a eu à le préciser Amadou Kane, selon le projet interviendra particulièrement dans la région de Louga, pour appuyer les programmes de santé de la production, de la qualité, de la prise en charge de la grossesse, des accouchements compliqués, ainsi que des nouveau-nés. Mieux, pour le ministre de l’économie et des finances, ce financement devrait également contribuer à promouvoir la Planification familiale, par la réalisation de nouveaux centres de santé de référence. En ce sens, Amadou Kane soutiendra que le gouvernement du Sénégal ne ménagera aucun effort pour accompagner ce projet, en mobilisant les moyens financiers et humains nécessaires à sa réussite. C’est pourquoi, informe-t-il, le ministère de la Santé a confirmé l'affectation d'un personnel supplémentaire de qualité à Louga. L’ambassadeur de France au Sénégal, Nicolas Normand, précisera que l'Etat du Sénégal va contribuer à hauteur de 650 millions, pour la construction des locaux de la Direction de la santé de la reproduction et de la suivie de l'enfant (Dsrse).
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